Reviews

Appeler aujourd’hui “Avant Garde” une compagnie dédiée à un répertoire de danse qui fête ses 100 ans pourrait paraitre exagéré, Cependant la vision d’Isadora Duncan reste, on ne peut plus saisissante.

 Grâce à Andrea Seidel, Isadora Duncan Dancer de la troisième génération après Isadora Duncan, et sa compagnie inspirante composée de danseuses de la quatrième génération après Isadora Duncan, Miami est l’endroit ou il faut être pour voir des représentations authentique du travail de Duncan.

Reçu le prix de la meilleur compagnie de danse de taille modéré, Miami Beach Sun Post, 2001, 2002, et 2003.

 

  Bambi Anderson était hypnotisant dans le rôle de l’âme meurtrie de la Furie, comme l’était toute la compagnie dans les chorégraphies aux structures épurées Dubinushka et Warshavianka - une Ode à l’âme indomptable de l’esprit humaine – qui demeure vibrante.

The Miami Herald, 2002

 

…la compagnie…garde vivant la philosophie de Duncan en la recréant avec amour. L’engagement des interprètes a transformé cet héritage en présence vitale…Elles ont réussie à véhiculer d’une façon confortant – sueur aux sourcils et rhapsodie dans le cœur -  l’idée que l’humanité peut évoluer vers d’horizons plus lumineux.

 South Florida Sun Sentinel, 2002

 

...le plaisir de voir les chorégraphies d’Isadora Duncan est succulent, particulièrement quand elles sont interprété par le Isadora Duncan Dance Ensemble de Miami….la jeune compagnie à dansé avec une plénitude et avec un engagement qui ont emplie ses pièces d’une sensualité de la nature la plus pure qui soit.

The Miami Herald, 1998

 

…l’ensemble à su capturer la vraie essence de la Grèce antique des chorégraphies d’Isadora Duncan.  

 TampaTimes, 1996

 

Incandescent, jeunes danseuses entraînées de la plus belle manière….Elles incarnent une vision d’innocence d’Isadora toute en ayant été instruit à se mouvoir avec une immense intégrité.

The Miami Herald, 1996

 

La directrice de l’ensemble, Dr. Andrea Mantell-Seidel, à su démontrer pourquoi elle demeure une des meilleurs danseuses du style Duncan. La regarder danser « Mother » était comme voir se dérouler l’histoire de l’humanité.

Tampa Tribune, 1996 

 

 It may seem a stretch to describe an ensemble devoted to performing a repertoire a hundred years old now as avant-garde, but the vision of Isadora Duncan is still eminently cutting edge. Thanks to Andrea Seidel, a fourth generation Duncan dancer, and her inspirational company of fifth generation dancers, Miami’s the place to be to view authentic performances of Duncan’s work.

Voted Best Small Dance Company, Miami Beach Sun Post, 2001, 2002, and 2003

 

 Bambi Anderson was mesmerizing as the clawing, tortured soul in Furies, as was the entire company in the simply constructed Dubinushka and Warshavianka—an ode to the indomitable power of the human spirit—which remains spine-tingling.

The Miami Herald, 2002

 

 …the troupe…upheld Duncan’s philosophy by lovingly reconstructing her work.  The performers’ commitment turned that heritage into a vital presence….They managed to bolster an ambition that—with sweat on the brow and a rhapsody in the heart—humanity can march toward a brighter horizon.

South Florida Sun Sentinel, 2002

  

…the pleasures of watching Isadora Duncan’s choreography are luscious ones, especially as done by Miami’s Isadora Duncan Dance Ensemble…the young troupe danced with a fullness and commitment that filled these pieces with sensuality of the purest sort.

The Miami Herald, 1998

 

…the Ensemble captured the true classical Greek essence of Duncan’s choreography.

 TampaTimes, 1996

 

Incandescent, beautifully trained, young dancers…They embodied Isadora’s vision of innocence, but at the same time, they had been coached to move with immense integrity. 

The Miami Herald, 1996

 

Ensemble Director Andrea Mantell-Seidel’s performance in “Mother” demonstrated why she remains one of the best Duncan-style dancers. Watching her was like watching the history of dance unfold. 

Tampa Tribune, 1996